Twitter et le climat : sceptiques et croyants

Une nouvelle étude sur le climato-scepticisme de Twitter vient de paraitre.

J'ai un peu lu. C'est dirigé contre les méchants "climatosceptiques" de Twitter. Les auteurs ont passé plusieurs années à suivre des gazouillants qui pensent qu'il n'y a pas de réchauffement climatique ou que celui-ci n'est pas du fait de l'homme.

Globalement, je ne suis pas d'accord avec eux. Evidemment qu'il y a un réchauffement climatique. Et ce serait bien une sacrée coïncidence qu'on le détecte alors qu'on pollue comme jaja.

Et puis, comme disait Denis Sureau dans la Nef : "Je m’interroge sur les arrière-pensées des climato-sceptiques chrétiens. Que veulent-ils démontrer en exonérant l’homme de ses possibles responsabilités ? Veulent-ils sauver à tout prix un modèle de croissance qui ne détruit pas seulement notre « maison commune » mais avilit l’homme, ravalé au rang d’homo oeconomi­cus ? La lutte contre le réchauffement climatique peut et doit être l’occasion d’une subversion positive du « paradigme techno-économi­que » (cf. Laudato si’), du consumérisme dominant, au profit d’un autre style de vie conforme à une conception non-séculière et chrétienne de l’existence".

A quoi j'ai pour ainsi dire rien à ajouter. C'est propre, nickel. 

Mais bon, quand je lis les conneries des écolos, leur arrogance, leurs préjugés, leur hypocrisie, quand je vois leurs véritables objectifs (qui concernent rarement le climat comme tel)…

Ben je comprends les climato-sceptiques.

Si on envoyait les cons sur la lune, je connais plus d'un écolo qui partirait pas dans les derniers.